Le producteur d'énergies TotalEnergies a annoncé n'avoir procédé à "aucune réévaluation dans ses comptes de ses participations dans les sociétés cotées" liées au milliardaire indien Gautam Adani. TotalEnergies détient actuellement des participations dans des coentreprises avec le conglomérat indien Adani, à savoir 50% d'Adani Total Private Limited, 50% d'AGEL23, 37,4% d'Adani Total Gas Limited (ATGL) et 19,75% d'Adani Green Energy Limited (AGEL), a indiqué TotalEnergies dans un communiqué. Seules Adani Total Gas Limited et Adani Green Energy Limited sont des entités cotées, a souligné le groupe. "Ces sociétés étant mises en équivalence dans les comptes de la compagnie, la compagnie n'a procédé à aucune réévaluation dans ses comptes de ses participations dans les sociétés cotées ATGL et AGEL en lien avec l'augmentation de la valeur de ses actions", a indiqué TotalEnergies.

Le producteur d'énergies TotalEnergies a annoncé n'avoir procédé à "aucune réévaluation dans ses comptes de ses participations dans les sociétés cotées" liées au milliardaire indien Gautam Adani. TotalEnergies détient actuellement des participations dans des coentreprises avec le conglomérat indien Adani, à savoir 50% d'Adani Total Private Limited, 50% d'AGEL23, 37,4% d'Adani Total Gas Limited (ATGL) et 19,75% d'Adani Green Energy Limited (AGEL), a indiqué TotalEnergies dans un communiqué. Seules Adani Total Gas Limited et Adani Green Energy Limited sont des entités cotées, a souligné le groupe. "Ces sociétés étant mises en équivalence dans les comptes de la compagnie, la compagnie n'a procédé à aucune réévaluation dans ses comptes de ses participations dans les sociétés cotées ATGL et AGEL en lien avec l'augmentation de la valeur de ses actions", a indiqué TotalEnergies.

Les Bourses européennes ont clôturé globalement dans le vert vendredi, malgré l'annonce de créations d'emplois bien supérieures aux attentes aux Etats-Unis. Si un marché de l'emploi toujours robuste peut remettre en question la possibilité d'une baisse des taux de la Réserve fédérale (Fed) dès 2023, il montre également que le scénario d'un atterissage en douceur de l'économie américaine reste d'actualité. L'indice Stoxx Europe 600 a progressé de 0,3%, à 460,8 points. A Paris, le CAC 40 et le SBF 120 ont gagné 0,9% chacun. Le FTSE 100 à Londres s'est adjugé 1%, à 7.901,80 points, s'offrant ainsi un nouveau record en clôture. En revanche, le DAX 40, à Francfort, a cédé 0,2% Sur l'ensemble de la semaine, le Stoxx Europe 600 affiche un gain de 1,2%. Le laboratoire pharmaceutique Sanofi (-1,9%) a annoncé anticiper un ralentissement de la croissance de son bénéfice net par action (BNPA) des activités en 2023. Pour l'exercice en cours, les dirigeants de Sanofi tablent sur une hausse du BNPA des activités à taux de change constants dans le bas de la fourchette à un chiffre, contre une hausse de 17,1% en 2022. Le gestionnaire de maisons de retraite Orpea a chuté de 26%, après avoir déjà lâché 32% jeudi et 22% mercredi. Les investisseurs continuent de prendre la mesure du choc de la restructuration financière annoncée par le groupe cette semaine. Les actionnaires d'Orpea paieront au prix fort le sauvetage piloté par la Caisse des dépôts, marqué notamment par trois augmentations de capital d'un montant cumulé de 5,3 milliards d'euros. L'action Korian, principal concurrent coté d'Orpea, a abandonné 6,1%.

La Bourse de New York a clôturé en baisse vendredi après l'annonce de créations d'emplois supérieures aux attentes aux Etats-Unis, qui font redouter une sévérité accrue de la Réserve fédérale (Fed) face à l'inflation. L'indice Dow Jones (DJIA) a reculé de 0,4%, à 33.926,01 points, et l'indice élargi S&P 500 a perdu 1%, à 4.136,48 points. Le Nasdaq Composite a abandonné 1,6%, à 12.006,95 points. Sur l'ensemble de la semaine, le DJIA a cédé 0,2%, tandis que le S&P 500 s'est adjugé 1,2%. Le Nasdaq a plus fortement progressé en prenant 3,3%. L'amélioration du climat des affaires dans les services en janvier, pointée par l'indice ISM des directeurs des achats, a également confirmé le dynamisme de l'économie américaine malgré les craintes de récession. Les Etats-Unis ont créé 517.000 emplois le mois dernier, a annoncé vendredi le département du Travail. Le taux de chômage a diminué à 3,4%, son plus bas niveau depuis 53 ans, contre 3,5% en décembre en données révisées. Les économistes interrogés par le Wall Street Journal anticipaient 187.000 créations de postes le mois dernier et un taux de chômage en hausse à 3,6%. Amazon (-8,4%) a vu son bénéfice fondre sur les trois derniers mois de l'année 2022, réalisant son pire trimestre depuis 2014, sous l'effet d'une hausse de ses coûts et de la dépréciation de la valeur de sa participation dans Rivian. Les prévisions du géant du commerce électronique pour le trimestre en cours se sont également révélées légèrement inférieures aux attentes des analystes. La maison-mère de Google, Alphabet (-2,8%), a enregistré des revenus publicitaires en recul plus fort que prévu au quatrième trimestre et a également publié un bénéfice inférieur aux attentes des analystes. Apple (+2,4%) a mis fin à la série de résultats trimestriels records dégagés depuis le début de la pandémie, essuyant sa première baisse de revenus depuis près de quatre ans à la suite des problèmes de production en Chine qui ont pesé sur les ventes d'iPhone.

Les principaux marchés asiatiques présentent un tableau contrasté lundi. L'indice Nikkei a terminé en hausse de 0,7% à Tokyo, tandis que le Hang Seng de la Bourse de Hong Kong se repliait de 2,2% en fin de séance. Parallèlement, l'indice Shanghai Composite cédait 0,9%.

Les rendements des emprunts du Trésor américain ont gagné du terrain vendredi, après la parution d'un rapport sur l'emploi bien meilleur que prévu aux Etats-Unis pour le mois de janvier, qui est venu ébranler les prévisions des investisseurs quant à un arrêt du cycle de relèvement de taux d'intérêt de la Réserve fédérale (Fed) dans les mois qui viennent. Les investisseurs estiment maintenant à 61,3% la probabilité d'un relèvement de 25 points de base des taux en mai, dans une fourchette de 5% à 5,25%, soit le niveau désigné par la Fed comme un pic probable.

CS augmente l'objectif de Santander à 4,50 (4,40) EUR – Outperform
CS abaisse l'objectif de DWS à 31 (32) EUR – Neutral
Bank of America augmente l'objectif d'Infineon à 50 (48) EUR – Buy

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